Félix Pépin
Lanaudière : s’y établir pour s’accomplir
En quête de l’endroit parfait pour s’auto-construire, Félix Pépin était loin de se douter que son grand rêve, il le réaliserait au cœur de la forêt lanaudoise, loin des klaxons et plus près des chants d’oiseaux, à Saint-Gabriel-de-Brandon.
Pour le Filionois d’origine, le coin représente d’abord une belle découverte puis un précieux havre de paix qu’il ne compte pas quitter de si tôt. « Je ne connaissais pas vraiment la région avant de prendre la décision de m’y établir. Ce qui m’a porté jusqu’ici, c’est surtout l’abordabilité des terrains. Mais avec le temps, j’y ai découvert un endroit fantastique qui me rejoint et qui me fait du bien! »
La petite municipalité D’Autréenne lui aura alors été doublement bénéfique. Parce qu’en plus de lui permettre de s’y bâtir un nid à un coût raisonnable, elle lui aura aussi donné la chance d’aspirer à un mode de vie plus paisible, moins stressant. « En général, le niveau de stress ici est deux fois moins élevé qu’en ville. C’est moins bruyant, moins achalandé aussi. La majorité des commerces est fermée le dimanche, on ne voit pas ça partout. Ça permet de relaxer. »
« Mes amis de Montréal et de la Rive-Nord sont toujours impressionnés par le silence qui règne. Peu ou pas de traffic, pas de construction, c’est très calme comparativement à Bois-des-Filion, où j’ai grandi. Ici, on voit même les étoiles dans le ciel… et on prend le temps de les admirer. Ce n’est pas le cas en ville! »
En plus du lac et des paysages à couper le souffle qui bordent sa maison, l’électricien de profession se réjouit de la panoplie d’activités offertes autour de chez lui. Dans ses temps libres, il aime d’ailleurs jouer au golf sur l’un des nombreux terrains du coin, faire du bateau et profiter de la plage à proximité. En toute saison, il parcourt aussi le Parc régional des Sept-Chutes dans la MRC voisine. « Il y a plein de choses à faire ici et pour les gens qui aiment bouger comme moi, c’est le paradis! Je découvre de nouvelles activités à toutes les semaines. »
« Bien entendu, j’aime aussi me rendre vers Montréal le temps d’une journée. Mais je ne retournerais tellement pas y vivre en permanence! Lanaudière, c’est chez-moi maintenant. »