Jasmin Pelletier
Voler de ses propres ailes dans Lanaudière
Shawinigan Sud à Mascouche : 150 kilomètres. Aussi la distance qui sépare Jasmin Pelletier du nid familial, qui souligne le début de sa vie en tant que jeune adulte. Dans un nouvel environnement, non loin de la grande ville et du travail, un déménagement réfléchi et logique pour celui qui s’y plaît comme jamais à Mascouche, où il vole désormais de ses propres ailes.
Oeuvrant dans le domaine de la construction, le nouveau Mascouchois a complété ses études en Mauricie, d’où il est originaire, avant de poser ses valises dans une ville qui l’a charmé pour sa vie urbaine, l’étendue de ses services et son accès facile à la métropole via l’autoroute 25. « Bien que je travaille à Montréal, je ne souhaitais pas m’y établir. Surtout parce que j’ai besoin de grands espaces pour m’épanouir. Mascouche se voulait donc le parfait compromis entre ma vie professionnelle et mon désir de demeurer près de la nature. J’y ai d’ailleurs rapidement trouvé le logis idéal pour moi. »
Pour cet ancien nageur élite, Mascouche c’est aussi un vaste terrain de jeu. Celui qui lui permet de décrocher, un peu comme sa Mauricie natale, celle qui l’a notamment vu évoluer jusqu’aux Jeux du Québec et aux Championnats canadiens de natation aux côtés de sa sœur jumelle et sous les yeux attentifs de son père impliqué dans la Fédération de natation du Québec. « Ici, je peux continuer de bouger à ma guise, selon mes envies. Les installations sportives sont nombreuses et que dire du Complexe aquatique! Tout est à ma portée… sauf ma jumelle qui a pour sa part déménagé dans le Centre-du-Québec et mes parents qui sont restés en Mauricie. »
Parce que de cette famille de quatre enfants, trois d’entre eux sont aujourd’hui établis dans Lanaudière, une région qu’ils connaissaient bien pour y être souvent venus en visite depuis leur tendre enfance. Un peu leur chez-eux, déjà. « En choisissant de m’installer à Mascouche, je me suis aussi rapproché de mon frère et de ma grande sœur, de mon filleul, de mon grand-père, de mes oncles et tantes, cousins et cousines. »
Des membres de sa famille qu’il a hâte de retrouver post-pandémie, tout comme plusieurs endroits qu’il s’impatiente de redécouvrir dès qu’il en aura à nouveau la chance. « Ce qui fait la beauté de Lanaudière, c’est qu’on a accès à une foule d’attraits et de restaurants à quelques minutes seulement de la maison. Pour ma part, j’ai hâte d’aller passer une soirée à l’Île-des-Moulins de Terrebonne, de socialiser, de faire de nouvelles rencontres. Tout le monde est gentil et accueillant ici! »